d'hautpoul a écrit : ↑22 août 2020 17:02
il suffira de "boucher" les blancs.....si c'est un peu court.
La version que vous proposez bouche déjà les blancs ou plutôt "substitue" des éléments connus par des éléments imaginaires.
d'hautpoul a écrit : ↑22 août 2020 17:02
RESTITUER LE CORPS SUITE A LA DEMANDE FAITE PAR LA FAMILLE A LAQUELLE ILS N'AVAIENT APPAREMMENT PAS LE SOUHAIT DE DONNER UNE SUITE FAVORABLE.
c'est exact!
Ce n'est pas à la demande de Letizia à laquelle je faisais allusion, mais à celle de ses fils en 1840 que rapporte BRH au début de son livre.
J'ai d'ailleurs été toujours étonné que BRH ne se soit pas rendu compte que ce récit pouvait "donner à des détracteurs éventuels une arme trop facile pour dénigrer [son] travail".
d'hautpoul a écrit : ↑22 août 2020 17:02
c'est là que l'on devine le talent du romancier!
J'ai essayé de voir si Frédéric Amespil, l'auteur de la clé des Invalides, n'était pas inscrit sur Facebook, mais je n'ai pas trouvé de Frédéric Amespil, mais bien Frédérique Amespil avec deux inscriptions différentes sur Facebook. A priori, ce n'est pas la même personne, puisque je suppose que Frédérique est une femme, tandis que l'auteur de La clé des Invalides a tout l'air d'être un homme (à moins qu'il ne s'agisse d'une femme à barbe ou qu'il n'ait changé de genre récemment). Ce qui est toutefois un peu surprenant, c'est que l'une et l'autre travaillent dans le secteur événementiel et puis je me souviens que lors de nos premiers échanges sur le forum Napoléon 1er, BRH m'avait appelé "Frédérique", mais ça, c'était à cause de l'avatar que j'utilisais à l'époque.
Frédéric Amespil a également un blog (ou plutôt a eu, car ce blog a l'air un peu à l'abandon).
https://fredericamespil.blogspot.com/
Et on n'y trouve pas la moindre adresse de contact.
Votre idée ne lui aurait peut-être pas plu de toute façon, car on imagine mal de pouvoir inventer des meurtres pour faire taire des gens qui sauraient que Napoléon repose dans le cimetière des domestiques de Sainte-Hélène, au lieu d'être aux Invalides.
« Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? »