Frédéric Staps a écrit : ↑24 sept. 2019 17:00
d'hautpoul a écrit : ↑24 sept. 2019 10:12
des circonstances m'ont alors obligé à publier intégralement les documents sur lesquels j'avais fondé ma conviction, auxquels on n'a rien su opposer et d’après lesquels il me paraît matériellement impossible qu'on puisse penser différemment........
C'est exactement le contraire de ce qu'écrivait Cipriani :
Cipriani Franceschi a écrit :Lui-même s'en est d'ailleurs justifié directement (si je ne m'abuse) dans la préface de l'un de ses propres livres consacrés à Sainte-Hélène, avançant le fait que citer ses sources aurait été la porte ouverte à d'éventuelles contestations de ses écrits
- "Frédéric Masson - toujours bien informé
mais qui ne livre pas ses sources - cite une lettre de Joseph à Napoléon, dans laquelle celui-ci se plaint de ne recevoir aucune réponse à ses courriers" (
Joseph Bonaparte, Thierry Lentz, Perrin, 2016, page 477)
- "Un volume d'Histoire ne se lit guère;
s'il livre ses sources, il effraie par sa masse, il rebute par son appareil prétendu scientifique;
s'il s'abstient de notes, il est méprisé par les augures" (
Autour de Sainte-Hélène, préface "Au lecteur", page I, Frédéric Masson, Tome 1, Paris, 1909)
Dans ses ouvrages, notamment ceux consacrés à Sainte-Hélène, Masson évoque en termes généraux, en préface, les sources qu'il a consultées, étudiées, sur lesquelles il a travaillé pour rédiger ses livres (Mémorial de Sainte-Hélène, Cahiers de Bertrand, mémoires de Gourgaud...)
il existe parfois des notes en bas de pages, mais jamais de bibliographie complète, de références d'archives, etc... en fin de ses publications

La nature l’avait doué de toutes les qualités nécessaires à un ministre de la Police (Comte Charles-Tristan de Montholon)