A tous âges les brocards se sont plaints des dix cors

[la remonte]

l'endroit assez curieux où est assise la fille aux bas blancs correspond, en plus étroit , au passage où va se terminer le duel au sabre , avec la belle Hamilton en furie qui tombe sur d'Hubert .


gageons que cela ne soit pas trop dénaturé comme cette première courette
les couleurs sont parfaites , le gris argentin du 3° correspond à la peinture des portes , tout est camaïeux comme un tableau de Corot , avec la touche rouge du 7°Hussards qui réveille l'ensemble

c'est en voyant rapidement le fer forgé que j'ai compris que c'était juste un passage entre les 2 niveaux , dans la ruelle par contre il n'y a pas de protection , peut être que oui depuis ?
j'adore la tête du vieux , acteur ou simple figurant ?




ps : je pars quelques jours et ne pourrai pas faire de commentaire sur la grande découverte

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Je pense que vous serez rentré avant que j'aie les photos.
Mais au moins il m'a répondu ; attendons de voir s'il va m'envoyer des photos des 2 ruelles ou d'une seule car je ne sais pas trop si l'appartement qu'il loue donne sur les 2 ou une seule.La plus intéressante est bien sûr celle qui est actuellement fermée à l'accès.
Concernant la courette,je ne trouve pas qu'elle est tant changée. Pour y avoir déjeuné lorsque j'étais à la villa des consuls,on reconnaît facilement les lieux pour quelqu'un qui a un minimum le duel en tête .

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A tous ceux qui voudraient enfin savoir où a été tournée l'altercation entre Féraud et D'Hubert (scène 8) avant leur premier duel,j'ai la grande fierté d'avoir aujourd'hui réussi à confirmer l'hypothèse jusqu'alors proposée.

https://duellistesendordogne.jimdofree.com/ (scène 8)

[la remonte]

Bravo !
effectivement ce n'était pas loin

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Bonjour,
Si cela tarde trop,je relancerai la personne dont j'attends les photos pour les ruelles (ou impasses)... Je ne vais pas trop le brusquer vu que c'est entièrement lié à sa bonne volonté

[la remonte]

en attendant ...



le busc de la cuirasse me paraît bon premier empire , j'aurais bien aimé être à sa place comme figurant
à la photo 4 , on le voit de dos dans l'église d'où sort d'Hubert . ce sont tous ces détails qui forment le tout . de même sous les arcades avec les gendarmes et les mousquetaires du roi qui annoncent le changement de régime .





La dossière est bordée de 33 clous en laiton. La partie cloutée est soulignée par une gravure aux traits, caractéristique des cuirasses d'officier du premier type 1804.
il devait bien y avoir un conseiller historique ? quelqu'un de l'Emperi ? je n'ai rien vu dans le générique .
le diable est dans le détail comme on dit
on peut bien se demander ce que fait ce cuirassier ici on l'aperçoit une fraction de seconde seulement , son seul intérêt est d'apporter un peu d'éclat de lumière au même titre que ceux des fourreaux de sabres dans un milieu assez sombre .

un effet Rembrandt ?

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La personne de Sarlat m'a recontacté ; bonne pioche,il se trouve être quasiment un passionné par les films tournés dans sa région
Donc il m'a réitéré sa volonté de participer pour la scène 8 et les ruelles possibles qui entourent son appartement à Sarlat rue Jean Jacques Rousseau.
Enfin,il a même peut-être une idée pour la scène 21!

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Remarque pertinente puisque Scott a longtemps été surnommé le "Rembrandt du cinéma"

[la remonte]

amusant , c'est vrai qu'il y a beaucoup de clairs-obscurs .
le cinéma est un art exigeant , il faut de la perfection sinon on ne reverrait pas les films
Rembrandt mais aussi Shakespeare pour le réalisme et la poésie , d'ailleurs comme déja mentionné , la plupart des acteurs ( sauf ceux , Américains , imposés par la production ) sont issus du théatre .
Acteurs mais aussi dans la construction : c'est une suite de tableaux comme on en trouve dans le théatre élisabethain , séparés par un titre et un petit roulement de tambour . Avec le théatre classique , une nouvelle scène commence avec l'entrée ou la sortie de personnages .
j'ai vu hier la pièce comique de Corneille : Le Menteur ( 1644 ) , gros succès à l'époque .
On peut se demander dans quelle mesure , les dramaturges ont influencé les modes de pensées
Réaliste en Angleterre avec Shakespeare ou le fossoyeur parle avec son parlé de tous les jours et classique en France avec des servantes chez Corneille ou Beaumarchais qui parlent avec autant d'emphase que leurs maîtresses joli mais faux comme dans les tableaux de Watteau , artificiel comme Marie Antoinette en bergère
Une influence qui joue peut être dans le sens inverse , ce serait la mentalité du pays qui engendrerait la composition ? le sens pratique anglo saxon contre une mentalité plus abstraite côté français qu'on retrouverait dans l'art ? des Français déconnectés de la réalité , bons concepteurs mais piètres vendeurs de leurs inventions
C'est peut être pour cela que Scott est le seul a avoir fait un film sur l'Empire qui ne soit pas une farce avec des erreurs grotesques

[la remonte]

comme dirait Arthur Dignam ( the eye-patch ) : " ce n'est pas un individu très sûr " avec la voix inimitable d'Henri Virlogeux .
c'est pourtant rapide de prendre une photo avec son téléphone



tant le personnage de gauche ( qui dans le roman n'a plus de nez ; gelé en Russie ) apparaît comme témoin dans le duel à l'épée à Lampon , c'est pour notre borgne sa première apparition . ils sont parfaits en demi-soldes .

" nous nous sommes croisés à Ratisbonne " : quel merveilleux sujet de conversation pour ces anciens combattants Balzac comme Mérimée ou Erckman-Chatrian ... n'ont qu'a tendre l'oreille .

On ne sait pas ce qu'il tient entre ses mains , une espèce de cravache qui rappelle son état d'ex- cavalier . cela lui donne un air martial malgré son piètre habillement . bicornes portés en bataille et non traditionnellement en colonne par fidélité au maître , incarné par défaut par Feraud ?